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Interview avec Achile Amoros

  • kathleendemontpell
  • 1 avr.
  • 4 min de lecture



Lancer son entreprise alimentaire sans avoir sa propre cuisine? Achile Amoros l’a fait grâce à Cookwork.

Se lancer dans l’entrepreneuriat alimentaire sans disposer d’un espace de production adapté peut être un véritable casse-tête. Optimisation de l’espace, accès à des infrastructures professionnelles, gestion des coûts… autant de défis que rencontrent les jeunes entrepreneurs du secteur. 

Achile Amoros, pâtissier indépendant, a trouvé la solution en louant une cuisine professionnelle avec Cookwork. Il partage avec nous son expérience, les bénéfices de cette alternative flexible et ses conseils pour ceux qui hésitent encore à franchir le pas.


  • Bonjour, pouvez-vous vous présenter et nous parler un peu de votre entreprise?


Bonjour, je m’appelle Achile Amoros. Je me suis lancé comme indépendant en pâtisserie après mes études. Je voulais lancer une entreprise dans l’alimentaire, dans le sucré plus précisément, et essayer de rassembler mes deux régions où j’ai grandi: la Bretagne et le Québec. Voilà, c’est les débuts et ça se développe petit à petit.


  • Quels sont certains challenges que vous avez rencontrés avant de louer une cuisine professionnelle? 


J’ai vraiment été confronté aux problèmes d’optimisation d’espace et pour avoir des infrastructures qui me permettent d’assumer des quantités. Et c’est vrai que je n’étais pas originaire de la région bruxelloise, donc je n’avais pas vraiment de réseau qui me permettait de trouver des environnements adaptés. Cookwork m’a semblé idéal pour ça: pour pouvoir me montrer les possibilités, dans un premier temps, et puis tester ensuite. 


  • Pourquoi avez-vous choisi de louer une cuisine professionnelle plutôt que d’en avoir une à vous?


Pour pouvoir assumer des quantités plus importantes, pour pouvoir donner une tournure professionnelle à ma production et pour pouvoir faire des processus qui soient plus réguliers. Donc, viser la qualité à la quantité.


  • Pourriez-vous nous parler de votre expérience avec Cookwork? Qu’avez-vous pensé du processus pour louer une cuisine avec Cookwork? Est-ce que c’était simple de se lancer? 


Alors moi, ça s’est fait de manière très rapide. Je suis tombé sur le site internet en voulant chercher des cuisines partagées et je suis tombé sur le contact d’Elodie. Je l’ai contactée et ça s’est fait assez rapidement. Elle m’a donné les possibilités et on a pu rapidement faire une visite d’atelier, celui-là justement. J’ai pu rencontrer la propriétaire, et ensuite, faire un test pour voir si ça convenait, pour pouvoir emménager dans la foulée. Ça s’est bien fait.


  • Qu’est-ce que vous aimez à propos de Cookwork? En quoi la location d’une cuisine chez Cookwork vous a-t-elle aidé dans votre activité ?


Je n’ai pas une grosse expérience dans le secteur, mais je remarquais quand même que pour pouvoir amortir les coûts pour les petites entreprises au vu des charges qui s’élèvent —énergétiques mais aussi les taxes— c’est quand même important de faire une production et de mutualiser au plus possible la production. 

Comme c’est un secteur assez nouveau, qui a été, de ce que j’ai compris, développé par le covid, c’était important d’avoir un acteur qui puisse faire le travail que je ne pouvais pas faire, de référencement. Donc, un partenaire fiable comme Cookwork, c’est indispensable pour moi pour pouvoir avoir un petit peu la tête tranquille et essayer de me concentrer sur ce que je maîtrise et la production.


  • Quels conseils donneriez-vous à un entrepreneur qui hésite encore à louer une cuisine professionnelle?


Je pense qu’il ne faut pas hésiter. Il ne faut pas hésiter trop longtemps, parce qu’il y aura plein d’autres moments où on sera dans l’hésitation. Donc, si on peut se libérer un petit peu de la charge mentale de trouver un emplacement ou une infrastructure, je le conseillerais. Il y aura d’autres occasions de se casser la tête.


  • Est-ce que vous recommanderiez Cookwork à d’autres entrepreneurs alimentaires? Si oui, pourquoi? 


Sans hésiter. Sans hésiter, parce que c’est vrai que le contact s’est fait de manière fluide et rapide. Ça a débouché sur un accord qui me convient. 

Donc pour la praticité, la simplicité et l’adaptabilité pour des entrepreneurs qui se lancent et qui n’ont pas forcément un réseau encore bien développé. Je pense qu’en termes d’accompagnement et en termes de développement aussi, c’est un partenaire fiable.


  • Comment est-ce que vous voyez évoluer votre entreprise dans le futur, et quel rôle la cuisine jouera dans cette évolution? 


J’aimerais utiliser le plus possible l’emplacement et optimiser les processus. Il y a un potentiel évident et je pense qu’il faut essayer de s’organiser le mieux possible pour pouvoir en profiter. 


  • Dans le futur, est-ce que vous vous voyez continuer à louer une cuisine ou est-ce que vous aimeriez en avoir une à vous?


Dans la mesure du possible, tant que je peux assumer les quantités, le système de cuisine partagée me convient. Je pense qu’il peut être adapté à des petites et à des grosses quantités. Même en quantité industrielle, je ne vois pas pourquoi ce ne serait pas intéressant—si on ne se marche pas dessus avec les personnes qui partagent la cuisine. Je trouve qu’on peut même faire des quantités plus importantes étant donné qu’on mutualise le matériel et l’emplacement. Je pense que c’est une solution pour les petits et pour les gros entrepreneurs.


  • Parfait, merci beaucoup pour vos réponses!


Avec plaisir!”





 
 
 

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